Opinions libres
L'auteur montre, textes à l'appui, que la tradition nataliste de l'Église Catholique ne trouve aucune justification dans les textes de l'Évangile et du Nouveau Testament, au contraire. Jésus n'a jamais encouragé la natalité ! On peut donc, sans aucune contradiction, être chrétien et favorable à une décroissance démographique, surtout si elle est "responsable".
L’auteur propose une façon de valoriser la famille restreinte en vue d’un monde pérenne et solidaire.
Démographie et écologie Alain Persuy
3.., 6.., 9.., le bail suicidaire de l'humanité ! Raymond Monédi
Pauvreté, inégalités sociales, écologie, démographie : de la responsabilité des élites Claudec
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Commentaires
Une réflexion générale sur la vie sur Terre est à débattre. La démographie est un des thèmes à appréhender avec le respect qui se doit ( liberté et risque de totalitarisme de gestion à tout moins) alors l'idée d'un moratoire politique, économique et démographique pourrait être une piste de réflexion... La modération comme principe de sagesse pourrait être à l'ordre du jour
Ensemble
philippe.
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Jo (sur FB)
Contenir la population passe aussi avant tout à supprimer toutes les aides favorisant les familles nombreuses. Il faudrait accompagner les familles du premier au second enfant et supprimer l'ensemble des aides dès le 3ème voire même demander un remboursement. Si certains peuvent ressentir le besoin vital d'une famille nombreuse, il est injuste que cela se fasse aussi aux dépens de tous pour ceux qui ne sont pas capable de l'assumer dans leur cercle familiale.
La terre ne peut satisfaire bien que 5 milliards de gens environ, c'est comme ça.
Il est intéressant de voir qu'il n'a pas été contré directement par Hervé le Bas : C dans l'air est très "consensuel". Celui-ci a attendu la fin de l’émission pour dire : « Une partie de l'augmentation de la population mondiale (et G-F Dumont l'a rappelé) est due à l'allongement de la durée de vie humaine sur Terre. Ceci dit, c'est une assez faible partie par rapport à l'effet de la fécondité.» Il aurait été intéressant qu'il précise sa pensée.
Ce que l'on peut dire en première approche, c'est que dans les pays les plus prolifiques, il n'y a pas plus de naissances qu'autrefois, mais par contre 8 ou 9 enfants sur 10 survivent (disons au delà de 5 ans) alors qu'autrefois ça n'était même pas 1 sur 2. Il semble que ceci ait un effet, dans la moyenne de durée de vie, bien supérieur au fait que nous vivions plus vieux au sens où on l'entend communément.
Quoi qu'il en soit, au final, la Terre doit supporter un nombre excessif d'êtres humains.
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